Nos projets agricoles sont intimement liés au dynamisme de nos territoires et à notre capacité à nous y développer. Il nous appartient donc de maintenir un équilibre et une attractivité de nos territoires, tout en permettant à l’agriculture de continuer à jouer son rôle structurant.
Ainsi, il nous faut à la fois lever certaines contraintes qui pèsent sur l’activité immédiate et engager des stratégies d’avenir pour nos activités futures.
NOUS AGISSONS POUR :
1// DÉFENDRE LA PLACE STRUCTURANTE DES AGRICULTEURS POUR UNE RURALITÉ DYNAMIQUE :
Faciliter et accompagner les projets économiques des agriculteurs et entrepreneurs ruraux ;
Élaborer et déployer des plans de souveraineté alimentaire pour chaque territoire ultra-marin.
Faciliter le vivre ensemble qu’exige la réalisation d’activités économiques au côté des autres utilisations des territoires ruraux ;
2// FACILITER L’ACTIVITÉ AU QUOTIDIEN DANS LES TERRITOIRES RURAUX ET FAVORISER L’ÉMERGENCE DE PROJETS PORTEURS POUR L’AVENIR :
Soutenir et accélérer le développement les services publics, les services essentiels au quotidien (professions libérales, internet et numérique…) et les services spécialisés (maillage vétérinaire efficace…) ;
Développer l’offre en logement et de mobilité, pour accueillir des actifs pérennes comme saisonniers ;
NOUS AGISSONS POUR :
3// PROTÉGER ACTIVEMENT LES AGRICULTEURS DE LA PRÉDATION ET DES DÉGÂTS DE GIBIERS :
Affirmer la primauté de l’activité d’élevage face à la prédation en dotant les éleveurs des moyens de lutte adaptés ;
Indemniser plus rapidement les agriculteurs ayant subi des pertes dues aux gibiers sur leurs productions, en cours de production ou déjà stockées, en prenant en compte la valorisation des produits ;
Tendre vers le « zéro attaque » et garantir aux éleveurs le droit de se défendre ;
Garantir la non-responsabilité pénale des éleveurs en cas de dommages causés par un chien de protection ;
Obtenir le déclassement du statut de protection du loup dans la convention de Berne ;
Assurer l’application et le suivi au niveau national et régional de la convention conclue en lien avec la Fédération Nationale des chasseurs pour la régulation et l’indemnisation des dégâts de gibier.
Faciliter les tirs de défense, le recours à des armes dotées de lunettes thermiques et renforcer l’appui des lieutenants de louveterie aux éleveurs ;